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En avril 2008, Abou Diarra enregistre son deuxième album, An Ka Belebele, et décide de travailler avec des instruments traditionnels dans une démarche acoustique (calebasse, yabara, balafon, tambi (flûte peule) ou ngoni). An Ka Belebele marque une rupture avec son premier disque Kono Kan Bora. Pour autant, Abou Diarra ne renie pas ses origines. Sans abandonner les boîtes à rythmes et les guitares électriques, il cherche dans les instruments traditionnels un nouveau style, des harmonies alliant les bases de la musique malienne wassoulou avec des inspirations occidentales (blues, jazz…), chanté en bambara (une des langues mandingues)…
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