
Basé à Hollywood, à Los Angeles (Californie – États-Unis) mais originaire d’Éthiopie, plus précisément à Alemaya qui signifie « un endroit où vous pouvez voir le monde », l’auteur-compositeur, multi-instrumentiste et chanteur, Alula Yohanes Tzadik aka Alula, développe une musique aux influences juives, latines et allemandes, enrobée de reggae, de ska ou de hip hop… et parfois de soul, de blues, de pop, de folk, de funk, d’électro ou de disco…
Alula est né d’un père chrétien et d’une mère juive qui lui donne à sa naissance les noms Tzadik et Sentayahu (titre de sa première chanson).
En 2000, Alula sort « Soul Love Peace », un album comprenant, entre autres, « African Woman », un hommage aux femmes africaines ou « Ethiopia », dédié à son pays. Mais aussi des reprises : « Jamaican Farewell », un titre composé en 1953 par l’auteur-compositeur, chanteur acteur et activiste américain, Harry Belafonte, et « Malaika » (« mon ange » en swahili), une reprise du fameux tube interprété pour la première fois à la radio Kenya Broadcasting Service en 1958 par le chanteur Fadhili William, en compagnie du guitariste Fundi onde et du groupe Jambo Boys, mais popularisé par Miriam Makeba en 1969.
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