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Qualifiée de danse du diable (abok satan) par les missionnaires car « encourageant » l’adultère (bisok) par ses jeux de hanches langoureux, elle est encore très populaire de nos jours et des artistes l’ont adopté et modernisé comme Atna Njock, François Essindi (Abakuya) ou encore Ob Jazz et Pasto qui a réalisé une fusion bikutsi/bol.
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