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Révélée sur la scène internationale par le festival Womad initié par Peter Gabriel, Lura s’impose lentement comme une des voix prometteuses de la scène capverdienne naviguant entre morna, funana, batuque, tabanka, blues et musiques brésiliennes.
Dans l’album « Di korpu ku alma » (De corps et d’âme), la voix à la fois mielleuse et chaude de Lura est soutenue tantôt par une morna langoureuse (« Na ri na »), tantôt par du batuque rythmé (« Vazulina ») ou par une funacola, une fusion funana–coladeira (« Mundo e nos »). Lura y reprend aussi des titres de son précédent album comme « Tabanka assigo » et « Ma’n ba des bes kumida da ».
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