Initié par ses parents aux cultures traditionnelles (l’art de chanter, de danser, de conter), le Togolais King Mensah est aussi marqué par le highlife ghanéen, l’afro-beat nigérian, mais aussi diverses autres sonorités africaines (appolo ivoirien et ghanéen, musique mandingue, rumba congolaise ou mbalax sénégalais…) et occidentales jazz, la pop, le funk, la soul, le blues, le reggae. Ses textes empreints de philosophie, de sagesse et de croyance, et ses messages d’espoir à l’endroit des enfants déshérités et démunis sont chantés dans diverses langues togolaises, Ewé, Mina, Kabyé, et en français.
En 2000, King Mensah sort Mensah Mensah, un opus qui lui vaut plusieurs prix la même année : “Meilleur Artiste Traditionnel” aux Kora Awards, “Meilleur Artiste”, “Meilleur album” et “Prix d’excellence” aux Togo Music Awards en 2000. Dans la famille, le troisième garçon s’appelle Mensah, raison pour laquelle il a intitulé son troisième album Mensah Mensah qui veut dire le fils du pére.
Mensah Mensah lui a valu d’être sacré meilleur artiste traditionnel aux Kora Awards 2000.
Sur des structures musicales alternant ballades et rythmiques afro-funk ou afro-pop, King Mensah pose son immense voix aux intonations multiples.
1. Topodola, 2. Néné, 3. Babadé, 4. Fétou, 5. Djoka, 6. Elava, 7. Mawu-Ena, 8. Ménéou
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